Ghost City

Coucou tout le monde, quelques nouvelles des USA!
Après une semaine chargée (ils ne rigolent pas question stage, on a sacrément de boulot), week-end tranquille pour Eliane et moi : un peu de shopping (il nous faut, mais alors IL NOUS FAUT un chapeau de cowboy), puis une petite sortie dans l'Etat voisin, l'Oregon.

Ici, c'est le vrai Far West, du coup, tous les magasins du genre "Agro Supplies", qui te vendent des graines et des tracteurs, font également du Western Wear. Un pur régal à l'oeil. Chemises en flanelle, grosses cintures, chapeaux de cowboy, de cowgirl (en version hiver ET version été), des belles boots, il y a de quoi claquer du fric.

Pour ce qui est de l'Oregon, nous avons traversé les Montagnes Rocheuses direction Baker City pour nous y rendre.
Le paysage est réellement superbe dans le coin : canyons, collines, montagnes, forêts, au loin on a même vu des sommets enneigés.

Bon, mais pourquoi Baker City? En vérité, pour rien du tout, on y a passé à peine quelques minutes, parce que le but de l'aventure du jour c'était la ghost town de Whitney (Whitney étant le nom de la town en question, non pas une personne).

Bon, les photos sont cool (si si), mais en vérité on a été un chouia déçu, parce que pour moi une ghost city est une VILLE, et de surcroît une ville SANS HABITANTS, et là il y avait cinq maisons en tout et un super sex-shop (même Plouzané fait plus ville à côté de ça), et la présence de pick up trucks relativement récents m'a fait sucer quelques habitants pas encore morts dans le coin. Même pas drôle, quoi. Mais on fera mieux la prochaine fois, et le paysage valait vraiment le coup d'oeil.

Puis pour terminer sur une note joyeuse, gourmande et tout le bazar, à défaut de faire du pain comme les miss AK et Coralie, j'ai fait des petits cupcakes (vous savez, les petits gâteaux dans des caissettes en papier ultra-couverts de crème et ultra-bariolés, avec tout de même un avantage sur tous ceux vus au Wal-Mart du coin : quand c'est 100% fait maison, tu sais ce qu'il y a dedans). Tout choco, parce que QUAND MÊME, I can't live without my chocolate. Comme je suis trop gentille, je vous montre ça.

À la prochaine!

Marie-Violaine (et Eliane)